Später habe ich Ionesco persönlich kennengelernt, als ich 1984 in meinem Popa-Verlag sein Frühwerk „Das groteske und tragische Leben des Victor Hugo“ auf deutsch veröffentlichte.
Update: Ana-Maria Stan in der „Transylvanian Review“, Vol. XIV, N° 4, Winter 2005, über „Survie, création, devoir patriotique, collaboration? Le cas d'Eugène Ionesco à Vichy“: „Dans la dernière partie de sa mission, Eugène Ionesco renonça partiellement à ses démarches exclusivement culturelles pour se consacrer à un autre type de projet (…) l'intention de créer une chambre de commerce franco-roumaine {…) Dans les circonstances complexes des premiers mois de 1944 la réalisation de l'initiative des personnalités de Marseille était malheureusement impossible. L'idée était, tout de même, attrayante et Eugène Ionesco ne tarda pas à la communiquer à son chef direct, Ion Dragu, et par la suite même au ministre Dinu Hiott.“
