„Ambassades
D'après l’ officieuse agence l'Observator, de Bucarest, M. Eugène Filotti, chef du bureau de la presse, vient d’être désigné par le ministère des affaires étrangères, pour occuper, à la date du 1er mai, les fonctions d’envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire du gouvernement roumain auprès du gouvernement d’Ankara.(…)
M. Jean Dragu, journaliste, lui aussi, des plus avisé et collaborateur de M. Filotti, recueille la succession de celui-ci à la tête du bureau de presse du gouvernement de Bucarest.“
„Journal des débats politiques et littéraires“, 21 avril 1935
„LE BUREAU DE LA PRESSE A BUCAREST
Nous apprenons par l’agence officieuse Observator, de Bucarest, que M. Eugène Filotti, chef du bureau de la presse, vient d’être désigné par le ministère des Affaires étrangères, pour occuper, à la date du 1er mai, les fonctions d’envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire du gouvernement roumain auprès du gouvernement d’Ankara.(…)
M. Jean Dragu, journaliste, lui aussi, des plus avisé et collaborateur de M. Filotti, recueille la succession de celui-ci à la tête du bureau de presse du gouvernement de Bucarest.
Par les personnalités choisies, on voit le soin qu’apporte le gouvernement roumain aux relations de la presse nationale avec l’extérieur. Tous deux qui se rendent compte du rôle de la presse aux heures graves actuelles s’en féliciteront grandement.“
„L’Européen“, 3 mai 1935
„UN NOUVEL ATTACHÉ DE PRESSE ROUMAIN A PARIS
Bucarest, 2 avril.
M. Jean Dragu vient d’être chargé de la direction des services de presse à l’ambassade de Roumanie à Paris. M. Jean Dragu, qui a 50 ans, est journaliste de carrière, ayant collaboré à la plupart des grands journaux de son pays.“
„Le Progrès de la Côte-d’Or“, 3 avril 1940
„Corps diplomatique
M. Jean Dragu vient d’être chargé de la direction des services de presse à l’ambassade de Roumanie à Paris. Il quittera Bucarest à la fin de cette semaine pour Paris.“
„Le Jour“, 3 avril 1940
„Le nouvel attaché de presse roumain à Paris
M. Jean Dragu vient d’être chargé de la direction des services de presse à l’ambassade de Roumanie à Paris. Il quittera Bucarest à la fin de cette semaine pour Paris.“
„L’Intransigeant“, 3 avril 1940
„A travers la Grand Ville
Une réception à l’occasion de la fête nationale roumaine
A l’occasion de la fête nationale roumaine, M. Bouvet, consul général de Roumanie et Mme Bouvet. ont reçu samedi la presse à déjeuner. M. le Ministre de Roumanie en France, qu’accompagnaient M. Jean Dragu, conseiller de presse près la légation royale de Roumanie et M. Paltanéa, correspondant officiel de l’Agence Radar, avait bien voulu venir de Vichy pour présider cette réunion à laquelle tous les journaux lyonnais et les quotidiens de Paris repliés avaient tenu à assister.“
„Le Journal“, 18 mai 1942
„A LA FOIRE DE LYON
Une réception au pavillon de Roumanie
Parmi les nombreux pavillons étrangers de la Foire de Lyon, l’un des plus remarquables est assurément celui de la Roumanie. (…) Hier matin, à 11 heures, M. Dinu Hiott, ministre plénipotentiaire de Roumanie, a reçu dans ce pavillon les notabilités lyonnaises. Réception très cordiale où l’on remarquait, autour du ministre, (…) Jean Dragu, conseiller de presse.“
„Le Journal“, 29 septembre 1942
„A LA FOIRE DE LYON
Une réception au pavillon de Roumanie
Ce matin, à 11 heures, M. Dinu Hiott, ministre plénipotentiaire de Roumanie, a reçu dans le pavillon, organisé par cette nation à la Foire de Lyon, les notabilités lyonnaises. Cette réception cordiale avait pour objet du manifester les sentiments de sympathie qui existent entre les deux peuples. Le ministre était entouré de (…) Jean Dragu, conseiller de presse.“
„Le Temps“, 29 septembre 1942
„LA ROUMANIE ET NOUS
Au Centre Universitaire méditerranéen, à Nice a eu lieu, hier, l’ouverture de la chaire Michel Eminesco
Nice, 8 février (C.P.).
Cet après-midi, à 16 h. 15 a eu lieu au grand amphithéâtre du Centre Universitaire Méditerranéen, à Nice l’ouverture solennelle de la chaire Michel Eminesco.
M. Alain Guillermo, titulaire de la chaire, a parlé des paysages roumains, devant un public de près de mille personnes. La conférences était illustrée de projections. Mme Adine Yosif, de l’Opéra de Lyon, a chanté des chansons populaires roumaines. (…) La légation royale de Roumanie en France était représentée par M. Jean Dragu, conseiller de presse, et ses collaborateurs MM. E. Cernatesco et E. Ionesco, attachés culturels.“
„Le Petit Marseillais“, 9 février 1943
„MANIFESTATION D’AMITIÉ FRANCO-ROUMAINE
Nice, 10 février
Une importante manifestation d’amitié franco-roumaine a eu lieu au Centre universitaire méditerranéen. Le grand amphithéâtre du centre était plein d’un public enthousiaste au premier rang duquel avaient pris place la célèbre poétesse Hélène Vacaresco, MM. Jean Dragu, attaché de presse à la Légation de Roumanie en France, Jonesco et Cornalesco, attachés culturels à cette légation et les autorités de la ville et du département.“
„Le Progrès de la Côte-d’Or“, 11 février 1943
„Manifestation d’amitié franco-roumaine à Nice
Nice, 10 février
Une importante manifestation d’amitié franco-roumaine a eu lieu au centre universitaire méditerranéen. Le grand amphithéâtre du centre était plein d’un public enthousiaste, au premier rang duquel avaient pris place la céléèbre poétesse Hélène Vacaresco; MM. Jean Dragu, attaché de presse à la légation de Roumanie en France; Jonesco et Cernalesco, attachés culturels à cette légation; Mme Titulesco et les autorités de la ville et du département.“
„Journal des débats politiques et littéraires“, 12 février 1943
„FRANCE ET ROUMANIE
A propos de la réouverture des cours de la chaire Michel Eminesco au Centre universitaire méditerranéen de Nice
Dans son »Projet d’organisation du Centre universitaire de Nice«, qui est peut-être sa plaquette la plus rare, M. Paul Valéry écrivait: »Il est à souhaiter, pour la gloire de Nice et de la nation, que notre Centre se manifeste et s’impose, quelque jour, comme le lieu d’élaboration d’une connaissance méditerranéenne, le point où se forme une conscience de plus en plus nette et complète de la fonction de cette mer privilégiée dans le développement des idéaux et des ressources de l’homme. L’ordre, en toute matière, est né sur ses borde. Notre époque excessive gagnerait à ne pas l’oublier.«
Poursuivant son action, malgré les difficultés de l’heure, le Centre universitaire méditerranéen (…) a rouvert à peu près tous ses cours. Lundi dernier, M. Alain Guillermou, jeune professeur au lycée de Nice, et l’un des hommes de France qui connaissent le mieux la Roumanie, prononçait la conférence inaugurale de la chaire Michel Eminescu, en présence de MM. Jean Dragu, conseiller à la légation royale de Roumanie à Vichy, et Eugène Ionesco, attaché de presse et culturel à la même légation.“
„Journal des débats politiques et littéraires“, 17 février 1943
„Matinée artistique à la Presse étrangère
Le nouveau Comité de la presse étrangère à Paris a inauguré ses matinées artistiques de la saison par une réunion au Club de la presse, à laquelle étaient invités, en dehors des correspondants étrangers à Paris et des représentants des autorités, tous les directeurs de la presse parisienne. On y remarquait, en outre, la présence de MM. Jean Dragu, conseiller de presse de Roumanie.“
„Le Cri du peuple de Paris“, 12 octobre 1943
„MATINÉE ARTISTIQUE A LA PRESSE ETRANGERE
Le nouveau comité de la presse étrangère à Paris a inauguré ses matinées artistiques de la saison par une réunion au club de la presse, à laquelle étaient invités, en dehors des correspondants étrangers à Paris et des représentants des autorités, tous les directeurs de la presse parisienne. On y remarquait, en outre, la présence de MM. Jean Dragu, conseiller de presse de Roumanie.“
„Le Matin“, 15 octobre 1943
„Une réception à Paris en l’honneur de M. Seicaru
président de la presse roumaine
M. Pamfil Seicaru, président de la presse roumaine, directeur du grand quotidien bucarestois Currentul, se trouve actuellement de passage à Paris.
Au cours d’une réception de presse en panorthodoxie, tantôt, enpresse organisée hier par le conseiller de la légation de Roumanie M. Jean Dragu, le grand journaliste roumain a pris un amical contact avec les représentants de la presse parisienne.“
„Le Petit Parisien“, 7 mars 1944
„Une manifestation de l’amitié franco-roumaine
À l’occasion du passage à Paris de M. Pamfil Seicaru, président de la presse roumaine, qui dirige à Bucarest les deux grands journaux Currentul et Evénementul, M. Jean Dragu, conseiller de presse à la légation de Roumanie, a offert un thé auquel assistaient outre les représentants de la presse roumaine à Vichy et à Paris, les directeurs et rédacteurs en chef des journaux parisiens.“
„L’Œuvre“, 8 mars 1944
Donnerstag, 30. Juli 2020
Mittwoch, 29. Juli 2020
Ioan Dragu in der Österreichischen Nationalbibliothek
„Direktor Jean Dragu, Pressechef des rumänischen Außenministeriums, Zeichnung von Robert Fuchs“, Porträtsammlung der Österreichischen Nationalbibliothek, Inventar-Nummer PORT_00021170_03.
Robert Fuchs, offenbar ein Nazi, hat Prominente unter anderem für die „Neue Freie Presse“, das „Neue Wiener Tagblatt“ und den „Wiener Montag“ porträtiert. Leider habe ich noch nicht herausgefunden, wann und in welcher Zeitung diese Zeichnung meines Großvaters abgedruckt worden ist.
„Im Hotel Alcron, Prag, sind abgestiegen: (…) Pressechef Jean Dragu (…)“
„Wiener Salonblatt“, 31. Oktober 1937
„Die Einsetzung des neuen Presse-Direktors
Bukarest, 10. Feber
Gestern vormittag wurde im Unterstaatssekretariat für Presse und Propaganda, der neue Pressedirektor Jon Dragu eingesetzt. Jon Dragu bekleidete dieses Amt bereits früher und steht aus dieser Zeit noch in bester Erinnerung. Der Pressedirektor Dragu hielt eine Ansprache, in welcher er ausführte, daß er sich als Beauftragter der Presse betrachte und alle Pressevertreter stets offene Türen bei ihm finden werden.“
„Banater Deutsche Zeitung“ vom 11. Februar 1939
„Vor Gafencus Reise nach Warschau
Rumänien und Polen
Bukarest, 1. März
Die schon geplante Reise des rumänischen Außenministers Gafencu nach Warschau ist nun – wie amtlich mitgeteilt wird – endgültig auf den 3. März festgelegt. worden. Außenminister Gafencu, der sich drei Tage in Warschau aufhalten wird, reist in Begleitung (…) der rumänischen Presse, der unter anderem Pressedirektor Dragu (…) angehören.“
„Völkischer Beobachter“, 2. März 1939
„Kabinett Taterescu vervollständigt
Zum Generalsekretär des Propagandaministeriums wurde Pressedirektor Dragu ernannt.“
„Völkischer Beobachter“, 1. Dezember 1939
Robert Fuchs, offenbar ein Nazi, hat Prominente unter anderem für die „Neue Freie Presse“, das „Neue Wiener Tagblatt“ und den „Wiener Montag“ porträtiert. Leider habe ich noch nicht herausgefunden, wann und in welcher Zeitung diese Zeichnung meines Großvaters abgedruckt worden ist.
„Wiener Salonblatt“, 31. Oktober 1937
„Die Einsetzung des neuen Presse-Direktors
Bukarest, 10. Feber
Gestern vormittag wurde im Unterstaatssekretariat für Presse und Propaganda, der neue Pressedirektor Jon Dragu eingesetzt. Jon Dragu bekleidete dieses Amt bereits früher und steht aus dieser Zeit noch in bester Erinnerung. Der Pressedirektor Dragu hielt eine Ansprache, in welcher er ausführte, daß er sich als Beauftragter der Presse betrachte und alle Pressevertreter stets offene Türen bei ihm finden werden.“
„Banater Deutsche Zeitung“ vom 11. Februar 1939
„Vor Gafencus Reise nach Warschau
Rumänien und Polen
Bukarest, 1. März
Die schon geplante Reise des rumänischen Außenministers Gafencu nach Warschau ist nun – wie amtlich mitgeteilt wird – endgültig auf den 3. März festgelegt. worden. Außenminister Gafencu, der sich drei Tage in Warschau aufhalten wird, reist in Begleitung (…) der rumänischen Presse, der unter anderem Pressedirektor Dragu (…) angehören.“
„Völkischer Beobachter“, 2. März 1939
„Kabinett Taterescu vervollständigt
Zum Generalsekretär des Propagandaministeriums wurde Pressedirektor Dragu ernannt.“
„Völkischer Beobachter“, 1. Dezember 1939
Sonntag, 26. Juli 2020
Wochenplan (Update)
Innenminister Herrmann stellt die neue Radl-Uniform der bayerischen Polizei vor / Odeon im Innenministerium, „Three Billboards Outside Ebbing, Missouri“ / ARD, EMMY Nominations, Ordentliche Betriebsratssitzung / MVV, Agnès Vardas „Sans toit ni loi“ mit Sandrine Bonnaire / Filmmuseum, John Cassavetes' „Gloria“ mit Gena Rowlands (Foto) / Filmmuseum, Pressetermin „Oktoberfest 1900“, Testspiel FC Bayern vs. Olympique Marseille / Magenta Sport Free TV, Besuch der 3. Bürgermeisterin Verena Dietl am Wedekindplatz, „4 Blocks“ / Pro Sieben, Salzburger Festspiele
Donnerstag, 23. Juli 2020
Vom Bau zur Bühne: „Flashdance“ (1983)
In einer Ära der Fortsetzungskatastrophen à la „Porky's“ muß daran erinnert werden, daß Hollywoods Buhlerei um den jugendlichen Kinogänger einst auch Meisterwerke wie „Steelyard Blues“, „Clockwork Orange“ oder „Performance“ hervorgebracht hat. Don Simpson, an allen drei letztgenannten Filmen beteiligt, produzierte nunmehr für den Jugendmarkt „Flashdance“, den Sommerhit der Film- und Musikcharts.
„Flashdance“ bezeichnet die tänzerische Umsetzung von Alltagsszenen, mit der Alex, tagsüber Schweißer, am Abend auf der Bühne brilliert. Straßenszenen, etwa ein Polizist, der den Verkehr dirigiert, oder Jugendliche, die im Park mit Tanzschritten wetteifern, fallen Alex ins Auge und werden Bestandteile, Vorlage ihrer Show. Ihrer, denn Alex ist eine Frau. „Flashdance“ einer der seltenen Frauenfilme, wo die männliche Hauptrolle fast gänzlich auf ein porschefahrendes Beiwerk reduziert ist.
Im heruntergekommenen Industriegebiet von Pittsburgh schuftet die junge Alex Owens am Bau und im Nachtclub, um sich den Traum von einer Ausbildung zur Balletttänzerin zu verwirklichen. Schweiß und Ehrgeiz, doch auch Selbstzweifel und Anlehnungsbedürfnis prägen das Porträt dieser Frau, die sich privat und beruflich durchzusetzen weiß. Die groß angelegte Frauenrolle, Mittelpunkt beider Handlungsstränge, der Liebes- und der Erfolgsgeschichte, wurde um der Perfektion willen in der Besetzung wieder gesplittet, die Hauptdarstellerin Jennifer Beals in den Tanzszenen gedoubelt. Eine Professionalität, um die man auch in anderen Bereichen bemüht war: Kamera, Licht, Ausstattung und Choreographie ergänzen sich und schaffen eine perfekt durchgestylte Szenerie.
Mit diesen Rohstoffen cineastischen Könnens in den Händen inszenierte der ehemalige Werbefilmer Adrian Lyne unverdrossen das Ganze mit dem Kurzstreckenatem eines Video-Clips oder TV-Spots. Den Anforderungen eines Spielfilms, ein komplexes Handlungsgerüst zu errichten oder gar Musik- und Spielszenen in einen Guß zu bringen, scheint er nicht gewachsen. Ratlos sieht man als Zuschauer die Story hin und her springen, verärgert beobachtet man die unklaren Charakterskizzierungen, etwa wenn die Heldin zuerst als gläubige Unberührte erscheint, um dann auf einmal selbstbewußt ihren Chef zu vernaschen, damit die Handlung weitergehen kann. Beichten oder ein Todesfall werden – nur kurz angedeutet – als Stimulation bemüht, ohne näher begründet oder ausgeführt zu sein, die Möglichkeiten einer klassischen Entwicklungsgeschichte einfach verschenkt.
Entsprechend verfährt der Regisseur auch mit den zahlreichen Tanz- und Musikszenen. Einige der zahlreichen Hits, die nicht mal alle auf den Soundtrack paßten, werden nicht ganz ausgespielt, so wie es das Publikum von flüchtigen Videosendungen à la „Formel Eins“ gewohnt ist. Die atemberaubenden Tanzszenen sind oberflächlich abgefilmt, lassen den Zuschauer nur erahnen und erhaschen, aber nicht daran teilnehmen, wie etwa in „All that Jazz“ oder „Carmen“.
Die ganze Rolle der Alex Owens, die Tanznummern und Hits, „Flashdance“ insgesamt bleiben nur aufreizend und anregend. In einem erstaunlichen Ausmaß schafft es Lyne, eine nackte Schulter, Hits und Tanz zu arrangieren, optische und akustische Reize zu drapieren, ohne Befriedigung zu schaffen. Die geschürte Spannung, wenn Jennifer Beals ihren Rock hochschiebt oder Irene Cara ihr Lied trällert, bleibt im Raum, der junge Zuschauer kann sich, wird sich diesen Thrill immer wieder holen, im Kino, ais dem Walkman, in der Disco. Und niemand macht sich schmutzig, außer der Frau an der Kasse, die die Geldscheine zählt.
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 9/1983.
„Flashdance“ bezeichnet die tänzerische Umsetzung von Alltagsszenen, mit der Alex, tagsüber Schweißer, am Abend auf der Bühne brilliert. Straßenszenen, etwa ein Polizist, der den Verkehr dirigiert, oder Jugendliche, die im Park mit Tanzschritten wetteifern, fallen Alex ins Auge und werden Bestandteile, Vorlage ihrer Show. Ihrer, denn Alex ist eine Frau. „Flashdance“ einer der seltenen Frauenfilme, wo die männliche Hauptrolle fast gänzlich auf ein porschefahrendes Beiwerk reduziert ist.
Im heruntergekommenen Industriegebiet von Pittsburgh schuftet die junge Alex Owens am Bau und im Nachtclub, um sich den Traum von einer Ausbildung zur Balletttänzerin zu verwirklichen. Schweiß und Ehrgeiz, doch auch Selbstzweifel und Anlehnungsbedürfnis prägen das Porträt dieser Frau, die sich privat und beruflich durchzusetzen weiß. Die groß angelegte Frauenrolle, Mittelpunkt beider Handlungsstränge, der Liebes- und der Erfolgsgeschichte, wurde um der Perfektion willen in der Besetzung wieder gesplittet, die Hauptdarstellerin Jennifer Beals in den Tanzszenen gedoubelt. Eine Professionalität, um die man auch in anderen Bereichen bemüht war: Kamera, Licht, Ausstattung und Choreographie ergänzen sich und schaffen eine perfekt durchgestylte Szenerie.
Mit diesen Rohstoffen cineastischen Könnens in den Händen inszenierte der ehemalige Werbefilmer Adrian Lyne unverdrossen das Ganze mit dem Kurzstreckenatem eines Video-Clips oder TV-Spots. Den Anforderungen eines Spielfilms, ein komplexes Handlungsgerüst zu errichten oder gar Musik- und Spielszenen in einen Guß zu bringen, scheint er nicht gewachsen. Ratlos sieht man als Zuschauer die Story hin und her springen, verärgert beobachtet man die unklaren Charakterskizzierungen, etwa wenn die Heldin zuerst als gläubige Unberührte erscheint, um dann auf einmal selbstbewußt ihren Chef zu vernaschen, damit die Handlung weitergehen kann. Beichten oder ein Todesfall werden – nur kurz angedeutet – als Stimulation bemüht, ohne näher begründet oder ausgeführt zu sein, die Möglichkeiten einer klassischen Entwicklungsgeschichte einfach verschenkt.
Entsprechend verfährt der Regisseur auch mit den zahlreichen Tanz- und Musikszenen. Einige der zahlreichen Hits, die nicht mal alle auf den Soundtrack paßten, werden nicht ganz ausgespielt, so wie es das Publikum von flüchtigen Videosendungen à la „Formel Eins“ gewohnt ist. Die atemberaubenden Tanzszenen sind oberflächlich abgefilmt, lassen den Zuschauer nur erahnen und erhaschen, aber nicht daran teilnehmen, wie etwa in „All that Jazz“ oder „Carmen“.
Die ganze Rolle der Alex Owens, die Tanznummern und Hits, „Flashdance“ insgesamt bleiben nur aufreizend und anregend. In einem erstaunlichen Ausmaß schafft es Lyne, eine nackte Schulter, Hits und Tanz zu arrangieren, optische und akustische Reize zu drapieren, ohne Befriedigung zu schaffen. Die geschürte Spannung, wenn Jennifer Beals ihren Rock hochschiebt oder Irene Cara ihr Lied trällert, bleibt im Raum, der junge Zuschauer kann sich, wird sich diesen Thrill immer wieder holen, im Kino, ais dem Walkman, in der Disco. Und niemand macht sich schmutzig, außer der Frau an der Kasse, die die Geldscheine zählt.
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 9/1983.
Dienstag, 21. Juli 2020
Ioan Dragu in Arhivele Naționale ale României
Nunta principesei Ileana, la Sinaia. C. Hamangiu, Valeriu Pop, Nicolae Iorga, Munteanu-Râmnic, V. Cădere, Zamfir Brătescu, Dragu Ion, V. Vâlcovici, Ştefănescu Amza (26. Juli 1931)
Nunta principesei Ileana, la Sinaia. Al. Radian, Dragu Ion, Ştefănescu Amza (Juli 1931)
Nunta principesei Ileana, la Sinaia. Al. Radian, Dragu Ion, Ştefănescu Amza (Juli 1931)
Montag, 20. Juli 2020
Wochenplan
„Die Verlegerin“ (Foto) / ARD, „Die Mädchen der Ginza“ / Filmmuseum, Vollversammlung des Stadtrats / Gasteig, „tz“-Spätdienst, Vernissagen Gunter Sachs: „Kamerakunst“ / Künstlerhaus am Lenbachplatz, Wolfgang Moser : „menschen affen idioten“/ KGB und Jahresausstellung 2020 – „Pandemic Edition“ der Akademie der Bildenden Künste, Pressetermin der Bauministerin Kerstin Schreyer zu experimentellem Wohnungsbau bei der GEWOFAG in München-Sendling, Besuch der 3. Bürgermeisterin, Verena Dietl, am Wedekindplatz, „tz“-Spätdienst, Pressevorführungen „Exil“ und „Die Epoche des Menschen“
Sonntag, 19. Juli 2020
The Party is Over: „St. Elmo's Fire – Die Leidenschaft brennt tief“ (1986)
„American Graffiti“ ist längst vorbei, Wolfman Jack von MTV abgelöst und Vietnam keine Zäsur mehr. Lobbyisten und Finanzmakler in Reagans Washington stellen die Kulisse für Joel Schumachers ahornsirupsüße Filmkomödie, die wohl wirklich ein Lebensgefühl der 80er Jahre auf die Leinwand zu bannen scheint.
Passé die Zeiten der Melancholiker und Dropouts, der Kämpfer und ewigen Verlierer, vergessen die Möglichkeit, ein paar schöne Stunden im Kino könnten bewegend, mitreißend, schockierend oder doch zumindest unterhaltsam sein. Durchgestylt bis in's letzte leere Zimmer, in dem optisch wirksam schicke Tücher flattern, präsentiert uns Design-Profi Schumacher den fad-verlogenen Alltag einer Handvoll College-Absolventen, die in den letzten Zügen ihrer Nachpubertät liegen.
Ausgewälzt in der sinnlosesten Breitwand seit es Panavision gibt, zugedröhnt mit dem klebrigsten Soundtrack – aber den natürlich in Dolby, werden sieben Typen, vom Karrieristen bis zum verträumten Schriftsteller, als Abziehbilder eines jungen Amerikas verraten und verkauft! Am Scheideweg zwischen Beruf und Ehe, Selbstverwirklichung und Leistungszwang stehend, durchirren unsere jungen Stars Abenteuer zwischen Bett und Bartresen, die ja für sich genommen wie aus dem Leben gegriffen und nachvollziehbar scheinen, ob es sich um die Entjungferung oder den höllischen Drogentrip handelt.
Doch ohne jede Anteilnahme wie am Reißbrett komponiert, läßt es den Zuschauer ziemlich kalt, ob Kevin (Andrew McCarthy) wirklich schwul ist, Jules (Demi Moore) mit ihrem Chef ins Bett geht, Billy (Rob Lowe) seine Frau betrügt, Wendy (Mare Winningham) von zu Hause ausziehen will, Kirby (Emilio Estevez) auf Neureich macht, Alec (Judd Nelson) das Parteiabzeichen wechselt oder Leslie (Ally Sheedy) Mutter werden will.
Und weit spannender als das Treiben des mit Blick auf eine möglichst große Zuschauerzahl so zusammengewürfelten Hauptdarsteller-Septetts ist das geschickte product placement von Coca Cola, das in unzähligen Einstellungen immer wieder auf's Neue ins Auge fällt. Denn was die tiefen Leidenschaften des Titels betrifft: Coke is it!
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 4/1986.
Passé die Zeiten der Melancholiker und Dropouts, der Kämpfer und ewigen Verlierer, vergessen die Möglichkeit, ein paar schöne Stunden im Kino könnten bewegend, mitreißend, schockierend oder doch zumindest unterhaltsam sein. Durchgestylt bis in's letzte leere Zimmer, in dem optisch wirksam schicke Tücher flattern, präsentiert uns Design-Profi Schumacher den fad-verlogenen Alltag einer Handvoll College-Absolventen, die in den letzten Zügen ihrer Nachpubertät liegen.
Ausgewälzt in der sinnlosesten Breitwand seit es Panavision gibt, zugedröhnt mit dem klebrigsten Soundtrack – aber den natürlich in Dolby, werden sieben Typen, vom Karrieristen bis zum verträumten Schriftsteller, als Abziehbilder eines jungen Amerikas verraten und verkauft! Am Scheideweg zwischen Beruf und Ehe, Selbstverwirklichung und Leistungszwang stehend, durchirren unsere jungen Stars Abenteuer zwischen Bett und Bartresen, die ja für sich genommen wie aus dem Leben gegriffen und nachvollziehbar scheinen, ob es sich um die Entjungferung oder den höllischen Drogentrip handelt.
Doch ohne jede Anteilnahme wie am Reißbrett komponiert, läßt es den Zuschauer ziemlich kalt, ob Kevin (Andrew McCarthy) wirklich schwul ist, Jules (Demi Moore) mit ihrem Chef ins Bett geht, Billy (Rob Lowe) seine Frau betrügt, Wendy (Mare Winningham) von zu Hause ausziehen will, Kirby (Emilio Estevez) auf Neureich macht, Alec (Judd Nelson) das Parteiabzeichen wechselt oder Leslie (Ally Sheedy) Mutter werden will.
Und weit spannender als das Treiben des mit Blick auf eine möglichst große Zuschauerzahl so zusammengewürfelten Hauptdarsteller-Septetts ist das geschickte product placement von Coca Cola, das in unzähligen Einstellungen immer wieder auf's Neue ins Auge fällt. Denn was die tiefen Leidenschaften des Titels betrifft: Coke is it!
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 4/1986.
Montag, 13. Juli 2020
Wochenplan
Pressekonferenz zu Cybercrime und Cybersicherheit mit den Minister*innen Joachim Herrmann, Albert Füracker, Georg Eisenreich und Judith Gerlach sowie Burkhard Körner vom Landesamt für Verfassungsschutz / Odeon, Pressekonferenz mit Kommunalreferentin Kristina Frank zur Kampagne „Für München ist
Einweg-Plastik nicht mehr tragbar“ / AWM, Ordentliche Betriebsratssitzung / MVV, Vollgremium des Bezirksausschusses 12 Schwabing-Freimann u.a. zur Müllsituation am Wedekindplatz und der möglichen Schaffung einer Sommerstraße dort / Motorworld, Preisverleihung des Innovationswettbewerbs der Landeshauptstadt München / Vorhoelzer-Forum, Entscheidungsverkündung des Bayerischen Verfassungsgerichtshofes zum Volksbegehren Mietenstopp, „Certain Women“ (Foto) / Filmmuseum
Turbogeile Filmbranche: Wim Wenders' „Paris, Texas“ (1985)
Er ist schon lange unterwegs. Ein Film, der an einem 11. Januar von einem Verleih in ein Kino gebracht werden soll, darf, wird? Dies ist „Paris, Texas“. Der Film.
Den „Filmverlag der Autoren“ verbindet damit – ungeachtet jeden Festhaltens daran – nur noch Semantik und Historie. Denn der zum „Tchibo-Filmverleih“ (AZ, Frankfurt) verkommene Auswerter von Filmware à la „Das turbogeile Gummiboot“ hat in einem bis Redaktionsschluß noch nicht entschiedenen Rechtsstreit um die Verleihrechte an Wenders' Meisterwerk kein Mittel gescheut, den Regisseur zu behindern und zu beschimpfen – was von der Blockierung älterer Wenders-Filme bis zum Abstreiten jeglicher Auswertbarkeit von „Paris, Texas“ reichte.
Letztlich setzten sich die Anhänger der Filmverlagspolitik aus nur noch drei Lagern zusammen: die Turbogeilen der Filmbranche, die Deutschen, denen im Ausland erfolgreiche, viel herumreisende und auch noch selbstbewußte Landsmänner suspekt sind, und schließlich die Blauäugigen, die dem Filmverlags-Mehrheitsgesellschafter Rudolf Augstein nichts Böses zutrauen – schließlich ist sein „Spiegel“ des deutschen Intellektuellen „Wachturm“.
Auch wenn diese Koalition den prozessualen Erfolg noch davontragen mag, soll sie uns nicht weiter beschäftigen. Stimmen wir uns lieber ein – auf Highways und Chevys, auf Peepshows und Waschsalons, auf Bars und Freiheitsstatuen, auf Motels und Billboards, auf Paris, Texas.
„Er machte alle Lichter in dem Zimmer aus und legte sich auf den Boden zwischen die Betten. Seine Füße schwitzten. Er schaltete den Realistic Kassettenrecorder an und in der Dunkelheit antwortete Stevie Wonder: »Songs in the Key of Life«. Er betrachtete ein Apache Sandbild, das von nirgendwoher auf der Wand auftauchte. Farben aus dem Boden: bleicher, orangener Sand, schokoladenfarbene Erde, fahles Blau wie eine Träne. Er konnte den Schimmer des Perlmuttglanzes auf dem Pistolengriff sehen. Fäden von rosa Licht. Sich drehend. Er konnte sein eigenes Herz sehen. Er konnte das dämonische Festhalten eines Mannes an seiner einzigen Frau fühlen.“ (Sam Shepard, Motel Chronicles).
Man braucht nur die Drehberichte zu lesen und den Erzählungen zu lauschen, um die Stimmigkeit Wim Wenders' im Zusammenwirken mit seinem Team bestätigt zu bekommen. „Paris, Texas“ offenbart Bild für Bild, wie sehr Sam Shepard (Script), Robby Müller (Kamera), Chris Sievernich (Produktion), Ry Cooder (Musik), Nastassja Kinski, Harry Dean Stanton und Hunter Carson (Darsteller), um nur einige zu nennen, mit Wenders zum geballten Energiefeld verschmelzen. „Together we make it happen.“
Das Ereignis, hervorragend in einem Prachtbuch des Greno-Verlags dokumentiert, ist keineswegs nur Wenders' zu oft herbeiinterpretierter Amerika-Traum, sondern ein Epos über die Liebe, die Gefühle und das Chaos drumrum. Diese Geschichte kennt kein Happy-End. Aber vielleicht der Kinoeinsatz dieses Films?
Die Darsteller hätten einen Publikumserfolg redlich verdient. Denn das Trio Stanton/Kinski/Carson, Vater-Mutter-Sohn, auf das sich der Film letztendlich konzentriert, stellt in seiner darstellerischen Intensität, in seinem Ringen um Gefühle einen filmischen Sonderfall dar. In ihrer Fremdheit und Verlorenheit von Kamera, Schnitt und Sound unterstützt, entwickeln sie ein sensibles Zusammenspiel, das ohne die streng chronologisch vor sich gegangenen Dreharbeiten nie hätte erwachsen können.
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 1/1985.
Den „Filmverlag der Autoren“ verbindet damit – ungeachtet jeden Festhaltens daran – nur noch Semantik und Historie. Denn der zum „Tchibo-Filmverleih“ (AZ, Frankfurt) verkommene Auswerter von Filmware à la „Das turbogeile Gummiboot“ hat in einem bis Redaktionsschluß noch nicht entschiedenen Rechtsstreit um die Verleihrechte an Wenders' Meisterwerk kein Mittel gescheut, den Regisseur zu behindern und zu beschimpfen – was von der Blockierung älterer Wenders-Filme bis zum Abstreiten jeglicher Auswertbarkeit von „Paris, Texas“ reichte.
Letztlich setzten sich die Anhänger der Filmverlagspolitik aus nur noch drei Lagern zusammen: die Turbogeilen der Filmbranche, die Deutschen, denen im Ausland erfolgreiche, viel herumreisende und auch noch selbstbewußte Landsmänner suspekt sind, und schließlich die Blauäugigen, die dem Filmverlags-Mehrheitsgesellschafter Rudolf Augstein nichts Böses zutrauen – schließlich ist sein „Spiegel“ des deutschen Intellektuellen „Wachturm“.
Auch wenn diese Koalition den prozessualen Erfolg noch davontragen mag, soll sie uns nicht weiter beschäftigen. Stimmen wir uns lieber ein – auf Highways und Chevys, auf Peepshows und Waschsalons, auf Bars und Freiheitsstatuen, auf Motels und Billboards, auf Paris, Texas.
„Er machte alle Lichter in dem Zimmer aus und legte sich auf den Boden zwischen die Betten. Seine Füße schwitzten. Er schaltete den Realistic Kassettenrecorder an und in der Dunkelheit antwortete Stevie Wonder: »Songs in the Key of Life«. Er betrachtete ein Apache Sandbild, das von nirgendwoher auf der Wand auftauchte. Farben aus dem Boden: bleicher, orangener Sand, schokoladenfarbene Erde, fahles Blau wie eine Träne. Er konnte den Schimmer des Perlmuttglanzes auf dem Pistolengriff sehen. Fäden von rosa Licht. Sich drehend. Er konnte sein eigenes Herz sehen. Er konnte das dämonische Festhalten eines Mannes an seiner einzigen Frau fühlen.“ (Sam Shepard, Motel Chronicles).
Man braucht nur die Drehberichte zu lesen und den Erzählungen zu lauschen, um die Stimmigkeit Wim Wenders' im Zusammenwirken mit seinem Team bestätigt zu bekommen. „Paris, Texas“ offenbart Bild für Bild, wie sehr Sam Shepard (Script), Robby Müller (Kamera), Chris Sievernich (Produktion), Ry Cooder (Musik), Nastassja Kinski, Harry Dean Stanton und Hunter Carson (Darsteller), um nur einige zu nennen, mit Wenders zum geballten Energiefeld verschmelzen. „Together we make it happen.“
Das Ereignis, hervorragend in einem Prachtbuch des Greno-Verlags dokumentiert, ist keineswegs nur Wenders' zu oft herbeiinterpretierter Amerika-Traum, sondern ein Epos über die Liebe, die Gefühle und das Chaos drumrum. Diese Geschichte kennt kein Happy-End. Aber vielleicht der Kinoeinsatz dieses Films?
Die Darsteller hätten einen Publikumserfolg redlich verdient. Denn das Trio Stanton/Kinski/Carson, Vater-Mutter-Sohn, auf das sich der Film letztendlich konzentriert, stellt in seiner darstellerischen Intensität, in seinem Ringen um Gefühle einen filmischen Sonderfall dar. In ihrer Fremdheit und Verlorenheit von Kamera, Schnitt und Sound unterstützt, entwickeln sie ein sensibles Zusammenspiel, das ohne die streng chronologisch vor sich gegangenen Dreharbeiten nie hätte erwachsen können.
Diese Filmkritik erschien im „Plärrer“, Ausgabe 1/1985.
Montag, 6. Juli 2020
Wochenplan (Update)
Digitale Auftaktkonferenz der Ver.di zur Tarifrunde öffentlicher Dienst 2020, Ausschuss für Arbeit und Wirtschaft / Altes Rathaus, Umweltausschuss / Großer Saal im Neuen Rathaus, Re-Opening des Münchner Filmmuseums mit der Filmreihe „Leading Women“: „Baby Face“, „Ninotchka“ (Foto) und „Bringing Up Baby“, Erstmalige Verleihung des Hochschulpreises des Referates für Arbeit und Wirtschaft, Verwaltungs- und Personalausschuss / Großer Saal im Neuen Rathaus, Spielzeit-Pressekonferenz des Gärtnerplatztheaters, Sozialausschuss / Großer Saal im Neuen Rathaus, „Quer“ über den Wedekindplatz, AKIM und „Party-Anarchie im Freien? – Lautes Treiben nach dem Lagerkoller“ / Bayerisches Fernsehen, Toshiki Okadas „Opening Ceremony“ / Olympiastadion, Fantasy Filmfest Nights / Cinema, Anselm Kiefer: „Opus Magnum“ / Franz-Marc-Museum, Pressevorführung „Weltreise mit Buddha“
Sonntag, 5. Juli 2020
Freitag, 3. Juli 2020
Münchner Rathaus-Tweets (Updates)
Eine Übersicht twitternder Stadtratsmitglieder, Fraktionen, Dienststellen der Landeshauptstadt und Rathaus-Reporter*innen in München. (Wird laufend aktualisiert.)
Andreas Babor (CSU)
Sabine Bär (CSU)
Anja Berger (Wiesnstadträtin, Die Grünen)
Beppo Brem (Die Grünen)
Simone Burger (SPD)
Marie Burneleit (Die Partei)
Verena Dietl (3. Bürgermeisterin, SPD)
Mona Fuchs (Die Grünen)
Nikolaus Gradl (SPD)
Judith Greif (Die Grünen)
Ulrike Grimm (CSU)
Katrin Habenschaden (2. Bürgermeisterin, Die Grünen)
Sonja Haider (ÖDP)
Anna Hanusch (Die Grünen)
Anne Hübner (SPD)
Stefan Jagel (Die Linke)
Heike Kainz (CSU)
Christian Köning (SPD)
Dominik Krause (Die Grünen)
Sabine Krieger (Die Grünen)
Thomas Lechner (Die Linke)
Haimo Liebich (SPD)
Barbara Likus (SPD)
Marion Lüttig (Die Grünen)
Gudrun Lux (Die Grünen)
Lars Mentrup (SPD)
Christian Müller (SPD)
Clara Nitsche (Die Grünen)
Lena Odell (SPD)
Julia Post (Die Grünen)
Manuel Pretzl (CSU)
Richard Progl (Bayernpartei)
Florian Roth (Die Grünen)
Klaus Peter Rupp (SPD)
Sebastian Schall (CSU)
Thomas Schmid (CSU)
Florian Schönemann (Die Grünen)
Christian Smolka (Die Grünen)
Felix Sproll (Volt)
Christian Vorländer (SPD)
Markus Walbrunn (AfD)
Micky Wenngatz (SPD)
Bayernpartei im Rathaus
CSU-Fraktion im Rathaus
Grüne Fraktion/Rosa Liste im Rathaus
SPD/Volt-Fraktion im Rathaus
Heiner Effern (Rathausreporter „Süddeutsche Zeitung“)
Emily Engels (Rathausreporterin der„Abendzeitung“ „BILD“)
Christina Hertel (Rathausreporterin der „Abendzeitung“)
Sascha Karowski (Rathausreporter der „tz“ und des „Münchner Merkur“)
Andreas Schubert („Süddeutsche Zeitung“)
Melanie Staudinger („Süddeutsche Zeitung“)
Thomas Bönig, IT-Referent und CDO der Landeshauptstadt München
Beatrix Zurek, Stadtschulrätin und Sportreferentin
IT-Referat der Stadt München
Presseamt der Stadt München
Stadtarchiv
Andreas Babor (CSU)
Sabine Bär (CSU)
Anja Berger (Wiesnstadträtin, Die Grünen)
Beppo Brem (Die Grünen)
Simone Burger (SPD)
Marie Burneleit (Die Partei)
Verena Dietl (3. Bürgermeisterin, SPD)
Mona Fuchs (Die Grünen)
Nikolaus Gradl (SPD)
Judith Greif (Die Grünen)
Ulrike Grimm (CSU)
Katrin Habenschaden (2. Bürgermeisterin, Die Grünen)
Sonja Haider (ÖDP)
Anna Hanusch (Die Grünen)
Anne Hübner (SPD)
Stefan Jagel (Die Linke)
Heike Kainz (CSU)
Christian Köning (SPD)
Dominik Krause (Die Grünen)
Sabine Krieger (Die Grünen)
Thomas Lechner (Die Linke)
Haimo Liebich (SPD)
Barbara Likus (SPD)
Marion Lüttig (Die Grünen)
Gudrun Lux (Die Grünen)
Lars Mentrup (SPD)
Christian Müller (SPD)
Clara Nitsche (Die Grünen)
Lena Odell (SPD)
Julia Post (Die Grünen)
Manuel Pretzl (CSU)
Richard Progl (Bayernpartei)
Florian Roth (Die Grünen)
Klaus Peter Rupp (SPD)
Sebastian Schall (CSU)
Thomas Schmid (CSU)
Florian Schönemann (Die Grünen)
Christian Smolka (Die Grünen)
Felix Sproll (Volt)
Christian Vorländer (SPD)
Markus Walbrunn (AfD)
Micky Wenngatz (SPD)
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CSU-Fraktion im Rathaus
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Heiner Effern (Rathausreporter „Süddeutsche Zeitung“)
Emily Engels (Rathausreporterin der
Christina Hertel (Rathausreporterin der „Abendzeitung“)
Sascha Karowski (Rathausreporter der „tz“ und des „Münchner Merkur“)
Andreas Schubert („Süddeutsche Zeitung“)
Thomas Bönig, IT-Referent und CDO der Landeshauptstadt München
Beatrix Zurek, Stadtschulrätin und Sportreferentin
IT-Referat der Stadt München
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