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Ich würde das Zitat dagegen dem Pariser Werbepapst Jacques Séguéla zuschreiben, der sein Buch über die Werbebranche der siebziger Jahren „Ne dites pas à ma mère que je suis dans la publicité… elle me croit pianiste dans un bordel“ betitelte, auf deutsch eben: „Sag' meiner Mutter...“
Update: „Chaque fois que je revois Jacques Séguéla à la télé, je pense à cette merveilleuse tirade de Pierre Desproges qui le recevait alors au « tribunal des flagrants délires » et qui résume, mieux que nulle autre le personnage : « Jacques Séguéla est-il un con ? De deux choses l’une : ou bien Jacques Séguéla est un con, et ça m’étonnerait quand même un peu ; ou bien Jacques Séguéla n’est pas un con, et ça m’étonnerait quand même beaucoup!»“ Les temps modernes du journalisme
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